Encore sur nous...
Beaucoup de Tut Tut
Démarche visant à concevoir la chaîne logistique et la gestion des flux corollaires avec une préoccupation constante de respect de l’environnement, de réduction de l’empreinte carbone des activités logistiques, de l’utilisation de véhicules de transports peu/moins polluants, de réflexion multimodale favorisant les synergies et les économies, de valorisation des emballages et de développement durable
Considérons que ces chiffres sont mirobolants : le secteur du packaging a donc une énorme marche de manœuvre s’il souhaite se conformer aux normes imposées par les accords de Paris de 2015. C’est pourquoi ce secteur est en pleine mutation, à commencer par les alternatives au plastique, telles que le carton et le papier. Certes ces matériaux rejettent également des gaz à effet de serre à la production, mais ils ont l’avantage d’être plus facilement recyclable et ont une durée de dégradation beaucoup plus courte que le plastique. Nous avons tous vu les campagnes gouvernementales expliquant qu’un morceau de sac plastique met presque 1000 ans à se désagréger…
Concernant le transport, ce n’est un secret pour personne, c’est également un des secteurs d’activités les plus polluants. Le fret représente à lui seul 40% des émissions de CO2, dont les ¾ sont dues uniquement au transport routier. Il convient donc à ce secteur de se réinventer à son tour. Depuis quelques années, de plus en plus de véhicules roulants au GPL (gaz de pétrole liquéfié) sillonnent les routes. La Poste à son tour s’est dotée d’un parc automobile de 27000 véhicules légers dont 7000 sont électriques et envisage de doubler sa flotte d’ici 2025, pour un investissement total de 200 millions d’euros. La Poste est un des acteurs du secteur de la logistique qui donne l’exemple : le groupe aurait réduit de 32% ses émissions de gaz à effet de serre depuis 2013. En revanche, 83% des émissions de CO2 de La Poste sont toujours directement liées à son activité, dont 31% proviennent uniquement du transport dit du « dernier kilomètre ».
Il convient donc aux autres acteurs de ce secteur de trouver des solutions innovantes en matière d’éco-logistique, afin de répondre aux exigences des accords de Paris, dont l’échéance arrive plus vite que prévue (pour rappel, l’Union Européenne se veut neutre en carbone d’ici 2050). La question est : les secteurs d’activités les plus polluants arriveront-ils à revoir leurs stratégies à temps pour faire face aux prérequis imposés par les accords de Paris ?
Dans cette optique, une nouvelle solution a vu le jour : le cotransportage.
Ce modèle de cotransportage nous vient (une fois de plus) tout droit des États-Unis et s’est importé en France depuis les années 2015. Mais il faudra attendre 2019 pour le gouvernement français statut légalement sur les tenants et aboutissants de ce nouveau modèle économique, et il faudra encore attendre la crise du COVID pour que les institutions se rendent compte de l’importance d’intégrer une solution de livraison à domicile de dernier kilomètre alternative.
Chez Tut Tut, nous n’avons pas attendu que le modèle s’impose pour prendre les devants. Au contraire, nous imposons ce modèle dans de nombreux secteurs du retail, que ce soit alimentaire ou spécialisé. Parce que nous croyons au cotransportage et souhaitons avoir un réel impact éco-responsable, nous mettons tout en œuvre pour offrir une alternative fiable aux grands groupes qui ont des besoins de livraison.
Cochant toutes les cases d’une entreprise du XXIème siècle responsable, nous avons donc structuré notre politique RSE et changé les statuts de la société pour celui d’« entreprise à mission ». Nous avons la ferme intention d’avoir un impact positif tant au niveau écologique que social. C’est pourquoi nous tâchons d’être pro-actifs dans nos démarches, en conservant toujours à l’esprit cette politique RSE.
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